27/12/2012

L'organisation du ministere de la defense espagnole en 2012

L'organigramme du ministère de la défense  espagnol 2012-2013

C'est la 2 ème partie des découvertes des documents de l'OSCE qui se promène sur internet grâce a Anonymous. C'est une correspondance en anglais  qui est communiqué par le ministère de la défense espagnol pour le compte de l'OSCE dans le cadres des accords de vienne. Ce document nous donnes tout l'organigramme des services d'urgence, de l’armée de terre, air, et mer et les bases militaires. Aussi ont décrit la liste des missiles, des chars, des véhicules, des hélicoptères de l'armée de terre, ainsi que le nombre de circonscrit. Un document explosif qui évidemment vous ne le lirai jamais dans une revue spécialisé ou dans le journal. Je laisse les analystes militaire et les chercheurs étudié les publications et faire des remarques. J'ai volontairement occulté certaine information car je veux pas être taxé d’être un espion :-)




PLAN DE LA DÉFENSE ESPAGNOL
Conformément aux dispositions de l'article 15 du Document de Vienne 2011, qui est entré en vigueur le 1er Décembre 2011, le Royaume d'Espagne fournit des informations concernant la planification de la défense de l'exercice 2012.

POLITIQUE DU PERSONNEL.


En 2011, nous avons poursuivi le processus d'application et au développement de la loi 39/2007 du 19 Novembre sur le plan militaire. Les principales activités concernant le régime du personnel ont été l'adoption de la loi organique des droits et devoirs des membres de la Réserve des Forces armées Règlement des forces armées dont l'objectif est de réglementer l'incorporation de réservistes volontaires, les offres spéciales et les obligatoires et d'établir leur statut juridique et les règles de professionnels destinations du personnel militaire.


En ce qui concerne le nombre de troupes qui composent le Ministère de la Défense, en date du 31 Décembre 2011 était la suivante: 17 435 officiers, sous-officiers, 28 863 armée et la marine et 25 107 membres du personnel civil (responsable, professionnelle et légale).
 Les collèges de la défense ont poursuivi leur consolidation. Résultat de cette consolidation a été l'embauche continue du personnel de soutien et les services et le personnel.

Il convient de noter à cet égard, l'exécution de la 1ère école d'été et atelier sur les technologies à double usage: Service de recherche et de développement de la société civile et militaire, menée sous la direction de l'université de la défense situé à San Javier et collaboration avec le ministère de la Défense et de l'Université Polytechnique de Carthagène.


En ce qui concerne le recrutement, la loi 39/2010 du 22 Décembre sur le budget de l'Etat pour 2011, en sa dixième disposition prévoit que d'autres militaires de l'armée et la marine  ne peuvent dépasser les 83 000 soldats. 


L'organigramme de la défense national espagnol

Annexe 1: Structure organisationnelle de l'état-major de la Défense
Annexe 2: Structure organisationnelle de l'armée
Annexe 3: Structure organisationnelle de la Marine 
Annexe 4: Structure organisationnelle de l'Air

Annexe 5: Organigramme de l'Unité militaire d'urgence
Annexe 6: Déploiement d'une force armée
Annexe 7: Structure et le déploiement de la Marine
Annexe 8: Déploiement de l'Armée de l'Air

Annexe 9: Dépenses de défense l'exercice 2011
Annexe 10: Budget de la Défense exercice 2012



Organigramme du ministere de la defense

armée de terre espagnol

armée de l'air espagnol

armée de l'air espagnol

Service d'urgence espagnol

Base de l'armée espagnol

Les bateaux de la marine espagnol

La marine nationale espagnol

Base de l'armée de l'air espagnol

Les effectifs de l'armé espagnol

Les effectifs de l'armé espagnol


23/12/2012

Paris sportifs, les opérateurs veulent faire appliqué la loi

Concurrence déloyale : La BBA veut faire annuler la licence de la Loterie national belge

La loterie national entre dans la danse des jeux en ligne
 

Ce n'est moins rien que de la concurrence déloyale dont il est question et du privilège d'une entreprise publique sur un marché concurrentiel ou un juteux gâteau rempli d'argent doit être partagé entre des acteurs du jeux.  La Belgian Betting Association, qui regroupe les opérateurs privés de paris sportifs en Belgique a déposé une demande de suspension et une requête en annulation auprès du Conseil d’État concernant l’arrêté royal relatif aux conditions de l’organisation de paris par la Loterie Nationale.

Le 25 mai, le Conseil des ministres avait approuvé un projet d'arrêté royal qui lui donne la possibilité d'acquérir une licence afin de pouvoir organiser des paris sportifs conformément à la nouvelle loi sur les jeux de hasard, entré en vigueur en janvier 2011. La Belgian Betting Association (BBA), qui regroupe les opérateurs privés de paris sportifs (Stanleybet, Bingoal et Betfirst) vient de déposer une demande de suspension et une requête en annulation auprès du Conseil d’État concernant cet arrêté royal, publié au Moniteur, le 9 août 2012.

La BBA rappelle, dans un communiqué, que la nouvelle loi a limité à 34 le nombre de licences à attribuer sur le marché belge pour l’organisation de paris. Dans ce cadre, la Commission des jeux et de hasard a reçu l’an dernier 52 demandes. La Loterie national a tardé à introduire sa demande n'estimant pas intéressant le marché juteux des paris en ligne. Pour éviter que le quota de licences ne soit épuisé, la Commission (composée de représentants de plusieurs cabinets ministériels) a autorisé, en novembre dernier, l’octroi d’une 35ème licence juste pour l’institution publique tout cela en totale mauvaise foi. 

A l’époque, les opérateurs privés avaient déjà estimé que cette dernière avait bénéficié d’un traitement de faveur mais attendaient la publication de l’arrêté royal pour introduire un recours devant les autorités administratives et judiciaires. C’est chose faite à présent.

Ils estiment, par la voie de la BBA, que les principes du marché concurrentiel fixés dans la nouvelle loi sont sérieusement menacés par l’arrêté royal du 9 août 2012 qui octroie une 35e licence exclusive à l’entreprise publique qui détient le monopole sur l’organisation des loteries.

La Loterie nationale se retrouve ainsi de facto dans une position privilégiée et dominante, puisqu’elle se voit explicitement octroyer une nouvelle licence pour l’organisation des paris alors que les autres opérateurs privés doivent se soumettre à une longue procédure de candidature. Grace aux nombreux produits que la Loterie Nationale belge offre grâce à sa licence monopolistique (Lotto, Euromillions, etc.) dans toutes les librairies du royaume, toute entrée de celle-ci dans un marché régulé mais concurrentiel comme celui des paris sportifs lui permettrait d’exploiter  en ayant un avantage unique et de s’accaparer le marché des paris sportifs en Belgique d’une manière qui enfreint totalement la législation de l’Union européenne.

Du côté de la Loterie nationale c'est silence radio, on affirme juste que le dossier est dans les mains des avocats, a déclaré son porte-parole.

A moins bien sûr qu’elle n’y soit finalement pas autorisée... donc affaire à suivre de très près car elle peut générer des émules a l'etranger. Autant dire qu’une entrée sur le marché des paris sportifs de la Loterie Nationale serait totalement anti-concurrentielle et mettrait la Belgique en contradiction avec la législation de l’Union Européenne.


19/12/2012

Réseaux sociaux et entreprise

Les entreprises plus responsables grâce aux réseaux sociaux?


L'é-reputation changerait t'elle l’éthique des entreprises ?

Edouard était l’invité de l’émission d’Ali Badou de Canal+ « la Nouvelle Edition », dans le cadre de la parution de l’ouvrage « On a tous à y gagner » de David Jones, Président d’Havas (1er groupe de pub en France et 5e dans le monde).

Le débat a porté sur les enjeux des médias sociaux dans l’évolution des affaires. Contribueront-ils à façonner un business plus éthique, voir foncièrement moral ? J'ai des doutes la :-)

> Voir l’émission sur le site de Canal+ (partie 1)

15/12/2012

La mutation de la presse belge

Google VS la presse belge : qui a gagné au final ?



La presse belge veut être rémunéré grâce aux clics et a Adwords

Google et la presse belge viennent d'enterrer la hache de guerre en signant un accord de collaboration de leurs sites web et des offres de publicités apres 6 ans de proces au tribunal de commerce de Bruxelles. Un accord qui risque de ne pas enchanter les autres acteurs de la presse européenne cherchant actuellement à faire plier la firme de Mountain View. Surtout qu'en France l'etat est en situation de pourparlé avec le monde de la presse et Google pour trouvé un compromis.

Ainsi donc Google signe un accord avec la presse belge. Google s'engage uniquement a remboursé les frais d'avocat de la partie adverse, et la signe par la meme occasion un accord confidentiel entre les éditeurs. Que stipule cet accords ? Mystere, en tout cas c'est confidentiel...  Pour le moment c'est le flou car Google est encore en proces dans d'autre pays et ne voudrais pas donner des arguments aux autres plaignants. En tout cas qu'aucun accord n'ait été mis en place pour une rémunération contractuelle et régulière de la presse pour indexation de leurs contenus. Mais un message sur le blog officiel de Google France ont apprend ainsi que :

- Promouvoir les services des éditeurs et de Google : Google fera la promotion de ses services dans les médias des éditeurs, tandis que les éditeurs de presse feront appel aux solutions publicitaires de Google, en particulier AdWords, pour attirer de nouveaux lecteurs ;

- Augmenter les revenus des éditeurs, en travaillant ensemble à la monétisation de leurs contenus via des modèles premium (paywall, abonnements) et des solutions publicitaires telles que les plateformes AdSense et AdExchange ;

- Renforcer la participation des lecteurs en implémentant sur les sites d'information les outils sociaux de Google+, notamment la fonctionnalité de vidéos Hangouts, et en lançant des chaînes YouTube officielles ;

- Améliorer l'accès au contenu original des éditeurs en favorisant sa distribution sur les plateformes mobiles, en particulier sur les smartphones et les tablettes.

Mutation de la presse belge

Magie ou bien hasard du calendrier, beaucoup de chose ce sont passé depuis la signature de l'accord et ça ne fait que commencé dans le monde de la presse.

Le groupe Rossel qui edite le journal Lesoir chaque jour et toute une myriade de journaux a commencé a licencier des journalistes pour reduction d'effectif, d’autant plus que le groupe Rossel, dans son ensemble accumule les acquisitions en France, et dégage des bénéfices et affiche une rentabilité de l’ordre de 10 % !

Le journal la Derniere heure (DH) a annoncé aujourd'hui (15 décembre) que dorénavant sont site internet serait payant a partir de mi-2013, donc fini la gratuité ...

C’est désormais une certitude, les heures de l’information gratuite sur Internet, sont comptées. Les éditeurs de presse belge (francophone et néerlandophone) et, plus globalement pratiquement tout site internet employant des journalistes faisant de l’information vont adopter un modèle internet payant en 2013. La nouvelle plate-forme verra le jour en septembre 2013, Media-ID. Il faudra y créer un compte, qui permettra de s’identifier ensuite sur tous les sites d’info du pays. Libre, ensuite, à chaque site d’info de faire payer ses contenus selon ses propres tarifs et son propre contenu.

Aide aux éditeurs de presse

Je rappelle que tout c'est journaux et magazine touche des subvention de l'etat via les 3 regions du pays. Pour la region Bruxelles-Wallonie une somme de 6,2 millions d'euros, indexée chaque année à partir de l'exercice budgétaire 2005. Cette aide à la presse écrite quotidienne est entièrement supportée par le budget de la Communauté française depuis 2008 et est versé a des groupes privé ou l"etat n'est meme pas actionnaire. En somme ce sont des cheques en blanc qui sont signé sans contre-partie financiere ! Et ce même contribuable qui devras passé a la caisse une deuxième fois pour lire les journaux en ligne.
Et comme il est toujours question d'argent, il est utile de rappelé que les journaux belge engage des journalistes sous le statut d’indépendant pour ne pas payer des charges et pour optimisé le coté fiscal, et que c'est même journaux paye des journalistes a 5 euro de l'heure dans leur Desk !


Des chèques en blanc que l’état belge verse a des familles propriétaire de journaux et des holdings privé

L'état des lieux des médias d'information en Belgique francophone (2011) suivant les chiffres communiqué dans le dernier rapport de la FEDERATION Bruxelles-Wallonnie. Des chiffres opaque qui s'arrette a l'année 2009 et quand ont veux connaitre les subsides versé journaux par journaux ont ne les publie pas dans le rapport tout simplement !

Des chiffres opaque sont communiqué jusque 2003, états des lieux de 2011 !


Ainsi sur l'ensemble de la période (2004-2010), le total de l'aide directe accordée via le Fonds d'aide croît de manière sensible (+662 360 euros de 2005 à 2010). Suite à l'application des différents critères, l'aide accordée à Sud Presse et aux Éditions de L'Avenir est en croissance constante.

Après avoir connu une baisse, l'aide attribuée au Soir s'avère quasiment identique en 2004 et en 2010. La Libre Belgique et La Dernière Heure/Les Sports ont enregistré une hausse d'aide jusqu'en 2009 seulement. L'aide accordée à L'Écho a connu une forte hausse depuis 2009. Sur la période 2005-2010, la répartition de l'aide directe entre les titres et JFB est à peu près identique.

Identifier les imputations du budget de la Communauté française concernant l'aide directe à la presse n'est pas aisé car, même si les aides figurent en large majorité sous une seule rubrique du budget, les intitulés et les affectations peuvent varier avec le temps. Ainsi, par exemple, le poste "aide à la presse périodique" se fond, au fil du temps, dans d'autres intitulés.
Plusieurs budgets sont aussi affectés à la sensibilisation des élèves à la lecture de la presse quotidienne aussi.

C'est familles qui contrôle les journaux et les groupes de holding



Les subsides de la presse belgique
Les subsides de la presse en Belgique passe par une concurrence deloyale 


Tout les groupes de presse bénéficie aussi de subvention via la poste belge pour distribué leurs journaux

Le marché de la presse quotidienne belge francophone payante est aux mains de trois groupes de presse différents : Rossel, Les Éditions de l'Avenir, et IPM.
L'actionnariat d'un de ces groupes de presse, Les Éditions de l'Avenir, est aux mains d'une société, Corelio, dont le siège social se trouve en Brabant flamand (Groot-Bijgaarden). Les deux autres groupes ont leur siège social en région bruxelloise.

L'actionnariat de deux de ces groupes est aux mains de familles. La structure de l'actionnariat d'un de ces groupes, IPM, n'a pas connu de transformation depuis le début des années 2000. Il est la possession de la famille Le Hodey (Patrice et François Le Hodey).
La base de la structure du capital du groupe Rossel est également familiale (famille Hurbain). Mais, jusqu'en 2005, 40% du capital du groupe étaient entre les mains du groupe de presse français Hersant. Ces parts ayant alors été rachetées par la famille Hurbain, le groupe Rossel présente aujourd'hui une structure de capital essentiellement familiale, via le holding Rossel-Hurbain (Christine Hurbain, Bernard Marchant).

La structure de propriété des Éditions de l'Avenir a, elle, été fondamentalement modifiée à partir de 1998, lorsque l'évêque de Namur de l'époque, propriétaire d'une grande partie du capital de la société, a décidé de s'en débarrasser. Dans un premier temps, une part de ce capital a été cédée à la société SBE (Société belge d'édition) qui regroupait divers milieux financiers catholiques wallons et flamands, et notamment le groupe de presse flamand VUM (Vlaamse Uitgeversmaatschappij), éditeur entre autres de titres de presse quotidienne (De Standaard, Het Nieuwsblad). À ce stade, l'évêque de Namur possédait toujours 25% du capital de l'entreprise.

Au sein de la SBE, la VUM rachètera les parts des autres actionnaires en 2004 et deviendra alors l'actionnaire majoritaire des Éditions de l'Avenir, dont l'ensemble des activités dans le secteur des médias ont, entre-temps, pris le nom de Mediabel.
Fort de cette position dominante, la VUM imposera en 2005 aux Éditions de l'Avenir de fermer leur imprimerie de Rhisnes et d'imprimer tous les journaux du groupe sur les presses de la VUM à Groot- Bijgaarden.

L'évêque de Namur cédant à la VUM ce qui lui restait de capital de l'entreprise en 2006, la société flamande devient dès lors l'unique propriétaire du groupe de presse wallon. Une situation qui lui inspire un changement de dénomination. La VUM se transforme en Corelio.
Aujourd'hui, le siège social des Éditions de l'Avenir reste en région wallonne (Bouge), de même que celui des autres activités éditoriales francophones de l'ex-groupe Mediabel.
Corelio NV, située à Goot-Bijgaarden, est possédé à 99,88% par le holding Corelio et à 0,01% par les Éditions de l'Avenir. Le holding Corelio, dont le siège social se situe dans la région de Bruxelles, est possédé par les sociétés suivantes : Synvest (40,31%), Cecan (20%), Krantenfonds (13,14%) et De Eik (11,84%). Le holding anversois Synvest est lui-même propriété à 50,01% du holding anversois Tradicor, contrôlé par la famille Leysen. Le président du Conseil d'administration de Corelio est d'ailleurs Thomas Leysen. L'autre actionnaire de Synvest est le holding bruxellois Sofinim, contrôlé par le holding anversois Ackermans & Van Haaren....